Tour #2: Un nouveau voisin.

Egrim dévérouilla la porte de sa demeure puis poussa la porte vers l'intérieur et vous invita à entrer. L'espace était très restrain, la maison ne consistait qu'en deux pièces, la chambre à coucher du gobelin et la salle principale ou y s'y trouvait une table, deux chaises et un foyer. Les très peu nombreux meubles était tous fait en bois, et dû au haut taux d'humidité de l'endroit, certaines pièces du mobilier commençait à moisir. Egrim ne s'arraitait pas à ses détails, il était vrai qu'un certaine odeur déplaisante émanait de ses meubles, mais c'était tout de même mieux que de rester dehors à la merci des éléments.

Le toit permettait d'arrêter une partie des précipitations de l'extérieurs, mais il n'en restait pas moin que plusieurs flaque d'eau était répendu sur le sol: le toit prenait l'eau.

Sheila et Conrad remarquèrent tous deux la petite taille du mobilier, au bonheur du halfing, mais au grand malheur de Sheila. L'elfe devra se contenter du sol, la table et les chaises n'était pas fait pour acceuillir quelqu'un de sa taille.

Après ce rapide coup d'oeil sur l'endroit, vous remarquez tous quelque chose d'assez inhabituel: un corps se trouvait dans la pièce, et une grande ouverture avait été faite dans le mur séparant les deux logements de la maison. Le trou avait visiblement été causé par l'impact puissant du corps de l'homme qui gisait sur le sol contre le mur affaibli par la moisisure.

Dans l'ouverture, vous voyez une créature typique aux Marais: Grande, de forte stature, de très léger traits humain et un taint vert. Un Orque. Surpris par votre entrer, il ne trouva qu'a dire en pointant l'homme mort sur le sol:

«Heu, il essayait de voler chez moi. Maintenant il est mort chez vous. Moi c'est Krenk.»

Arggggg ! ce s'tupide humain voila c'qui arrive quand on essaie de voler krenk ! aussi malsaint que ces maudit démons !!


Krenk se présente alors a egrim sheila et conrad leur expliquant en détail le pourquoi de ce gros troup béant dans le mur et fait conaissance avec ses nouveau voisin.

Je suis a la recherche de mon peuple perdu durant grande bataille de mon clan face a grosse horde de démon !!! j'irais au bout du monde pour r'trouver les mien meme si j'doit périr! J'napartien pas a ce monde et je veut retrouver le mien !!

J'suis curieux de savoir pourquoi vous aussi m'transporter
Gros cadavre !!
!!


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---Krenk Morlov---
--------Orc

p.s tipol mon nom c pas Angleus mais Conrad ingame
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Ce n'est pas la discrétions qui vous égorge étranger, et vos odeurs personnelles trahissent vos origines. Mais sachez que nous venons de faire face à des bandits, que nous sommes épuisés et que cet homme nous a aidé à les anéantir. Si vous savez comment le ramenez à la vie, cela serait le bienvenue, sinon, veuillez vous écarter svp.

Duran mes voyages, jai vue des marins utiliser une technique oriental qui consiste a, humm Egrimm, compte jusqua trois en appuyant tes mains sur son coeur et pousse a chaque fois. Pour ma part je vais tenter de lui insouffler le soufle de la vie, je sais je sais, c pas très hygiénique.... Allons, 1.. 2.. 3... (souffle dans la bouche) 1...2...3... (souffle dans la bouche)

Monsieur l'orc, vous n'auriez pas une potions par hasard avec vous? Une potions qui nous aiderais à ramener cette homme à la vie?

1....2...3... (souffle..)

J'espère que cela fonctionnera, sinon, il ne me reste plus qu'à composer une poème qui racontera le sacrifice de ce magicien.

Voyant les efforts que Conrad mettait pour sauver la vie de Kelhindil, Sheila décida de porter le blessé à un temple, là on pourrait le remettre sur pied. Avant de s'éclipser elle dit à l'intention des deux petit êtres:

«Je vais voir si un prêtre peut sauver notre ami. Je saurai vous retrouver lorsque qu'il ira mieu, si son état peut être amélioré.»

Après ces quelques mots, elle retourna sous la pluie, la petite charete derrière elle.



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Désolé Angelus, c'est corigé

C'était une excellente idée qu'avait eu Sheila, conaissant la ville probablement mieux que le jeune Halfling. Il proposa a Sheila de les escorter puisque les rues semblait dangereuse mais elle refusa. Elle leur assura qu'elle connaissait un chemin "safe".

Alors, egrim, tu as quelque chose à manger? J'ai toujours faim après une longue soirée. Surtout que je n'ai eu que 5 repas aujourd'hui...
il y a des jours comme ca où il faut se serrer la ceinture

Voyant les effort du petit groupe Krenk proposa son aide aux aventuriers si il pourrait leur être utile en quelque chose.

Je propose de vous accompagner je connais assez bien cette ville et si vous manquez de rations je suis bien pret a partager vous m'avez l'air de gens honête. Apres nous pourions aller faire un tour a l'auberge nous rafraichir les esprit et faire plus ample conaissance puisque nous sommes de nouveau voisins

--Krenk--

Cette ville est très libertine pour laisser des gens dans votre genre (regarde Krenk et Egrim d'un air moqueur) se balader librement. Et c'est une bonne chose bien sur (sentant le regard menacant de Krenk se poser sur lui...)
Humm, ca me rappelle une ville dans le nord qui... (Egrim leva les yeux vers le ciel pour montrer qu'il ne voulait pas vraiment entendre cette nouvelle histoire.

Bon D'accord, j'ai compris. C'est une très bonne idée Krenk, je te suis. Ce trou pourri de toute manière est plus infecte que le pont du bateau par lequel je suis arrivé. Je vous paie la bouffe, la boisson (pas trop quand même) et le divertisement. En faite, j'espère bien que votre auberge la plus proche a besoin d'un compteur ou d'un musicien dans mon genre car ma bourse commence à être vide. Damn. j'aurais du faire les poches de ces voleurs... Mais non, je suis trop honnête pour ca...

Allons-y Krenk, nous te suivons. Ammène nous où il y à la fête, et si ce n'est pas le cas. nous allons nous arranger pour mettre un peu d'ambiance... PARTY... PARTY...

cela faisait que quelques heures qu'Egrim connaissait Conrad et déja, le petit halfling lui tappait sur les nerfs

Krenk accompagna Sheila ,le mage a moitié mort, le hafling trop bavard et le petit goblin vers le temple ou sheila décida de rester pour soigné le blessé. Pendant le chemin Krenk n'étais pas bavard et écoutais Conrad faire son moulin a parole , mais allait t'il un jour areter de parler!! Mais Krenk n'étais pas du genre a cracher sur une bouffe gratuite a l'auberge alors il aquiésa et guida le petit groupe en transportant le blessé car les autres étais beaucoup moin fort physiquement que Krenk.

Bon voila le templs est la maintenant j'ai faim alors suivez moi on s'en va se payer du bon temps a l'auberge et ca ne me fera pas de tors je commencais a trouver le temps long dans ma demeure.

Egrim pris un reste de poisson qui trainait sur le sol. Il le grignota et laissa la carcasse sur le porche. Egrim n'avait pas décroché un mot depuis le bout de la rue, il était plongé dans ses pensées qui le tourmentaient.. allait-il mourir? faut-il lui asséner le coup mortel pour mettre un terme à ses souffrances? pourquoi faut-il retourner à l'auberge alors qu'on en vien? pourquoi la petite personne voulait aller boire un coup pendant qu'un camarade mourrait? pourquoi pourquoi pourquoi? tant de questions restant sans réponse.
Egrim sortit alors de sa méditation et tenta quelques mots

Vous n'allez tout d'même pas boire un coup à la taverne alors que Kel' est sur le fil rouge?
Personnellement j'suis fatigué! je compte bien me reposer un peu!
Je vous rejoinds quand je me reveillerai...à l'aube. Attendez moi à la première heure demain matin.

Egrim, perturbé, se retourna et se dirigea vers la porte pour se reposer un peu. Ses compagnons eux, allèrent vers l'auberge.

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Bon dsl de l'absentéisme mais j'ai refais mon pc et j'avais plus le site, et vu que je suis francais je pouvais pas contacter de québécois pour me donner le site! donc voila

Conrad et Krenk retournèrent sous la pluie afin de trouver une auberge qui les acceuillerais tout les deux, Egrim ayant décidé de rester dans le confort de son taudis. Il ne voyait pas l'intéret d'aller boire et fêter alors qu'un de ses compagnons était mourant.

Krenk et Conrad prirent la direction des quartiers moin pauvres afin de rendre une petite visite à Sheila et Khelindil au temple. Avec les raccourci que connaissait l'orque, ils furent au temple en un rien de temps. Une grande bâtisse se dressait devant eux, la porte d'entrer était ouverte et on y voyais un bon nombre de clerc qui s'affairait dans le temple. De chaque coté de la porte, se dressait d'immense colone de pierre qui soutenait un immence soleil d'or, symbole de Pelor, que les éclairs faisaient scintiller.

Devant la dizaine de marche qui menait à l'intérieur du temple se trouvait la charette que Sheila avait traîner afin de porter son compagnon blessé. Lorsque l'orque et l'halfing pénétrairent dans le lieu sacré, ils virent à leur droite Kelhindil, coucher sur un lit de camp, sa blessures recouverte d'un pensement déja trempé de sang. Il était sérieusement amocher. Au chevet du mage, la jeune elfe s'était assoupie directement sur le sol, la fatigue avait eu raison d'elle et les deux compagnons eurent la bonne idée de la laisser dormir.

Conrad et Krenk sortirent du temple pour aller en direction d'un auberge. Mais Krenk semblait troublé, il savait qu'une auberge en dehors des Marais serait ce que Conrad voulais, mais il est certain qu'il n'y serait pas le bienvenu. Déja certain prêtre du temple le regardait d'un drole d'air, qu'en serait-il des hommes dans l'auberge?

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Egrim, si tu veux faire quelque chose d'autre que dormir, tu n'as qu'à rajouter ici.

Dans le templs Krenk avait ressenti le mépris des prêtres qui le regardais comme un être qui n'avait pas ca place dans le monde et cela le rendais quelque peut mal a l'aise mais sans pour autant le mettre dans tout ces état car il commencais a s'habituer a ce genre de réaction de la part des humains et surtout ceux de haute stature. Alors par précaution Krenk lanca quelques mot a Conrad

Hey Conrad j'aimerais bien que tu te fasse tranquille a l'auberge car c'est pas tout le monde qui est fervant d'avoir une grosse bete verte comme moi dans leur parage et jte vois agir depuis 1 journée et tu est un vrai moulin a parole alors si tu peut t'abstenir de raconter tes milles et une histoire que je t'entend raconter depuis le peut de temps que je te connais ca srait bien aprécier !! Dommage que le voisin ne nous aie pas accompagné, je sais que le malheure de Kelhendil la ébranler mais en ce qui me concerne c'est un inconnu et je ne vais pas me priver pour autant !

Krenk Fila une tappe dans le dos du petit hafling qui fit ébranler vue sa petite stature et filla vers l'auberge pour prendre un bon repas sur le dos de ce ptit conte de fee sur patte. Krenk aurait bien aimé un petit goblin a ses coté au cas ou des incident raciste aurait lieu mais cette pensé parti vite quand son ventre se mit a gronder.

Pendant qu'Egrim fêtais avec ses comparses goblins, Conrad et Krenk terminaient finalement leur marche sous la pluie pour arriver devant une auberge de qualité bien supérieure à celle qu'on pouvait trouver dans les Marais, mais qui restait tout de même modeste et abordable.

La taille et la race de Krenk fit grande impression lorsqu'il pénétra dans la salle commune de l'auberge, presque toute la populace cessa ses activité afin de dévisager l'orque. Certain allèrent jusqu'à lancer des insultes et des morceaux de pain Krenk. L'aubergiste eu tôt fait de calmer tout le monde, craignant que cet petite altercation dégénère encore une fois. Il n'était pas rare que la présence de certaine race dans l'établissement engendrait des mélées générales qui coûtaient cher aux propriétaires des auberges.

Après avoir calmer la foule, l'homme bedonnant se dirigea en votre direction, présantant mille et une excuses de ça part et de la part de ses clients:

«Pardonnez-moi messir, pardonnez-les. Il ont tendance à provoquer ceux qui ne sont pas de leurs race et l'alcool n'aide guère leur cause. Je m'excuse encore de cet acceuil. Reprenons depuis le début si vous le permettez. Je m'appel Henry, Henry DuCauchon. Je suis propriétaire de ce petit établissement et vous offre donc votre première bierre afin de vous faire apprécier votre soirée chez moi malgré l'attitude de certain de mes clients. Prenez place, je reviens avec vos boissons dans un instant. »

Il vous désigna une table dans un coin de la salle, loin de l'agitation qu'à provoquer l'entrer de l'orque dans la bâtisse. Il se dirigea ensuite vers son arrière-boutique chercher les chopes promises et vous les déposa sur la table avant de retouner servir les autres clients.

L'heure avancé de la nuit expliquait le faible achalandage lors de votre arriver. Mais les chopes renversé sur le plancher et les morceaux de nouriture qui jonchait le sol à certain endroit donnait l'idée que l'endroit avait été bondé quelques heures au paravant.

Henry s'assura que vous ne manqueriez de rien passant à votre table de façon assez régulière et offrant un délais raisonable lorsque vous aviez besoin de quelque chose.

Quelques minutes après que le repas tant attendu par Krenk fût arriver, un homme dont l'ombre de sa capuche cachait le visage vous proposa du travail:

«Pardonnez-moi de vous interompre pendant votre repas, je serai bref. Je dois retrouver un objets, la paie est bonne et voyant votre accoutrement et vos origines étrangères, je crois que l'aventure ne vous fait pas peur. Je serai à ma table, si vous êtes interesser.»


Puis il retourna s'assoire dans le coin opposer de l'auberge.

Hmmm cela me semble une bonne offre mais donnez moi plus de détails car c'est facile de dire trouvez un objet mais si il se trouve dans la geule d'un dragon, je vais y penser 2 fois. En ce qui me concerne cela me semble interresant. Je m'ennui et je pourrais avoir une chance de retrouver mon peuple en route. Un autre probleme s'impose, si mon ami ci présent accepte, nous somme 2 pour trouver cette chose alors donnez plus de detail et peut etre que ma hache sera a votre service !

Une bonne offre, cela reste à voir, Mais cela m'intéresse égalemetn d'en apprendre plus.

"Aubergiste, une chopine de bière pour l'ami au fond."

Après avoir terminer mon repas, je me lève et j'invite Krenk à me suivre.

"Nous allons écouter ce que vous avez à nous raconter étranger. Nous sommes d'humeur pour de grandes aventures épiques dont ont fera des légendes que l'on racontera..."

Krenk tira sur la manche de Conrad pour qu'il se tèse.

Puis, les deux camarades prirent places au coté de l'étranger pour écouter son offre.

Après avoir terminé votre repas, vous vous dirigez vers la table de l'homme encapuchonné, assis dans le coin de l'auberge, il discute avec deux autres personne. Lorsqu'il vous voit arriver, il vous invite à prendre place autour de la table.

«Asseyez-vous, prenez-place! Je vous remercie pour la choppe de bière que vous m'avez livré Sir Halfing elle fût très appréciée.»

Il restait deux place autour de la petite table avant que Krenk et Conrad n'y prenne place. La faible lueur qui se dégage de la minuscule lampe à l'huile sur la table vous permet d'entre voir le visage du l'homme. Ça barde était fraichement couper et ses cheveux ne semblait pas salle du tout. Sa propreté rayonait parmis le désorde et la crace qui régnait dans l'auberge. Il était évident qu'il venait d'un quartier beaucoup plus aisé que celui dans lequel vous vous trouvez.

À ses coté, un homme et un étrange elfe discutait entre eux, ils avait prient place sur la table très peu de temps avant l'orque et le halfing. L'elfe avait le teint plus foncé que ses pairs et ses cheveux tirait plus sur le brun que le blond traditionnel des gens de sa race. Les deux homme étaient vêtus de vêtement ample ainsi que d'une légère armure, deux aventurier, tous en était sur. Après un bref silence, l'homme qui vous avaient aborder repris la parole.

«Venont en au faits immédiatement, je crois que vous êtes tous ici pour connaître mon offre. J'ai besoin d'un groupe afin de retrouver un ancien grimoire. On dit qu'il est fortement garder par les morts. Puisque je ne suis pas de votre graine, jai besoin de personne qui n'ont pas peur des défis. Je suis près à offrir cent pièces d'or par tête, la moitié maintenant et l'autre moitié à votre arrivé.»

Il prit par la suite une gorgé de bière avant de poursuivre.

«Je crois qu'à vous quatres ce ne sera peut-être pas suffisant. Une autre pair de bras serait consceiller. Maintenant que mon offre est placé, dites moi ce que vous en dites. Je ne connais pour l'instant aucun de vos nom et vous ignorez le mien. Si vous êtes partant, nous avons toute la soiré devant nous afin de faire plus ample connaissance, sinon je vous souhaite le bonsoir et je monte à ma chambre.»

L'homme vous regarde ensuite en silence, attendant votre réponse. Il déballa tout d'un bloc, comme si il connaissait son texte parcoeur, peut-être n'êtes vous pas le premier groupe à qui il fait son offre.

hmmm 100 pieces d'or par têtes cela me semble bien peu pour un livre gardé par des mort 200 pieces d'or serait un plus juste prix a mon avis. a ce prix vous venez de vous payer mes services. En plus je ne sais pas qui sont ses 2 gens avec vous et je ne generais pas pour prendre leur part si ils déciderais de nous gener.

Krenk regarda l'homme dans les yeux l'air extrêmement sérieux et prit une bonne gorgée de bière.

Mon compagnons a un bon points. 100 petites pièces c'est bien peu pour les dangers encourru par votre proposition. Mais nous pouvons nous entendre pour 200, la moitié payable à l'avance. Il va s'en dire que nous allons garder tous les profits engendrés durant cette expédition, à l'execetption bien-sûr de votre grimoire. Sachez que pour ce prix, vous n'engagez pas que de simple mercenaire mais bien les meilleurs aventurieurs que votre bourse puisse se permettre. Vous avez surement entendu parlé de nos exploits chez les Visigoths, les ruines de Kalidor infesté par la mort elle-meme, les marais désarconnés réduit a... a.... Non!?

Bon, ce n'est pas grave! Ce qui est important de savoir c'est que nous acceptons votre offre et nous allons nous joindre à vos deux compagnons. Ils pourront toujours être utile pour faire la vaiselle, ou cueillir des champignons pour les repas.

Pour ce qui est de nos précédentes aventures, si cela vous intéresse, je vais m'exécuter dans quelques instants, pour mettre un peu d'ambiance dans cet endroit, ma fois, terne.

Conrad pris une gorgé de bierre et attendi la réaction de leur futur "employeur".

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[...]comprenons que tes malheurs sont liés à tes origines mais tu dois aussi comprendre que nous
t'avons toujours considéré comme notre propre fils. Nous prions dame Nature qu'elle puisse
guider ton chemin et te mener là où tu pourras connaître une vie heureuse.


Nous croyons en toi.

Au revoir,
Aurius et Rose.
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Cette lettre, je devais l'avoir relu au moins une vingtaine de fois depuis le début de mon périple.
Après avoir appris la vérité sur mes origines à 20 ans, l'envie d'aventure et de voyage m'avait envahi.
Poursuivant mes espoirs, j'avais décidé de me rendre à la ville de Calos, à 600 lieux de la demeure
de mes parents adoptifs. Ce que j'avais cru qu'allait être une randonnée de plaisir c'était finalement
concrétisé en une marche interminable. J'avais toujours eu le don de me sentir à l'aise dans les boisés
et le grand Air. Cependant, cette marche n'en finissait plus et j'avais perdu toute bonne humeur.

Arrivé à une croisée des chemins, une pancarte me donna des forces soudaines: Route vers Calos, 8 lieux.

Bon, allez, me dije à moi-même pour m'encourager. C'est ainsi que j'arrivai enfin aux portes
de Calos, trempé jusqu'aux os et totalement épuisé. La nuit était déjà bien entamée et je rêvais déjà d'un bon
logis. Je me dis que le mieux serait d'entrer dans la première beuverie qui se présenterait à moi et de demander
conseil. Je marchai donc encore une bonne demi-heure traversant un quartier qui me semblait de mauvais goût et
j'atteignis enfin ce qui me sembla être une taverne de moyenne tenue.

En entrant, je constatai rapidement que l'ambiance était à la fête.
Les bruits étaient forts et la boucane m'empêchait de bien voir. Je repérai une petit table innocupée dans un coin
et alla m'y installer.

Un homme un peu rustre vint rapidement se présenter à moi et m'offrit une bière...tout en
prenant le soin de m'indiquer le prix de la boisson. J'acceptai la dette et pris une gorgée du moisseux mélange.

-Quel est votre nom voyageur? Je ne crois pas vous avoir jamais vu auparavant. J'ai bonne mémoire des visages et si j'ai
servis quelqu'un, j'en ai habituellement la souvenance. Au cas où vous ne le savez pas, vous être à l'auberge du Dragon Soul qui selon...

-Appelez moi comme vous l'entendez, dis-je l'interrompant.

Je n'avais aucune envie de racontars.

-Vous avez raison, je viens de loin. J'ai parcouru bonne distance et je suis fatigué.
Quel est votre prix le plus bas pour une chambre?

-Ah mais le voyageur n'a pas de chance. Je viens tout juste de louer ma dernière chambre.
Vous pourriez peut-être demander logis aux gens de la place, peut-être qu'un d'entre eux aura l'amabilité de vous offrir son toit.

-Merci, lui répondis-je, le laissant aller à d'autres clients.

Je sortis une très vieille pipe en bois bien sculté et l'allumai.
Je devais considérer mes options. L'idée de quêter un lit ne me plaisait pas du tout, sachant très bien que les
voleurs et les malfrats devaient être nombreux dans ce quartier malfamé.

À moins que le monsieur soit de conivance et qu'il m'est menti!? Non, à quoi je pense, il m'avait semblé être tout à fait honnête.
Je dois être vraiment fatigué pour conspirer seul ainsi en fumant ma pipe.

Prenant une bouffée, je jetai un coup d'oeil à la peuplace. À travers la foule de vieux crasseux et de saoulons fini, deux individus se démarquaient.
Un orque et un petit homme. Quel étrange association.
Je me dis que ce devait être normal en ville.

Profitant du confort, je décidai de patienter et d'observer la scène...

...la scène était banale. Mais pour un jeune rôdeur comme Aldaron,
qui n'avait jamais vécu en ville, c'était une nouvelle expérience.





***

L'orque et le petit homme s'étaient faits approcher par un homme.
Un homme qui semblait vouloir rester discret. Après quelques politesses
et une offre de breuvage, les deux exotiques allèrent s'asseoir à la table
du monsieur, qui était déjà avec deux autres hommes.



-Mais qu'est-ce que tu regardes Aldaron?, murmurai-je à moi-même.


...


Ma situation était précaire. J'étais sans emploi et sans logis.
La tuque rouge sur la tête, les habits vraiment sales et la barbe qui
commençait à être longue, je n'étais pas très beau à voir.

Celui qui sait prendre sa chance est le plus chanceux des hommes, disait souvent la vieillarde du village.


-Vas-y c'est ta chance!


Finissant ma chope, je traversai la salle et alla commander une autre bière
au bar. Prenant mon courage à deux mains (ou plutôt une grande gorgée),
je me dirigeai vers la table en discussion. Je pris une chaise sur le côté et m'assit clairement avec eux, souriant.


-Euh pardon, me dit le petit homme, car je venais de l'interrompre dans son discours.


Voulant les laisser croire que j'étais un saoulon un peu perdu,
je me tus et les dévisageai un par un. Ils étaient tous un peu incrédule,
l'homme encapuchoné n'appréciait pas du tout ma venue.

Le petit homme ouvrit la bouche mais je le pris de vitesse.

-Excusez-moi messieurs. Je suis un voyageur et je viens de loin. Je ne connais
pas cette ville et j'ai besoin d'un revenu. J'ai cru comprendre par vos
comportements qu'il y avait une jobine qui s'offrait ici. Est-ce que je me trompe?
Je me suis dit que vous auriez peut-être besoin d'une autre paire de bras.

Je me tus à nouveau, les laissant réagir.

Voyant que personne ne réagissait j'en profita donc pour glisser quelques paroles. Visiblement fatigué je me limita à une simple présentation.

Hum hum.. Je me présente Ezraal. Je suis un elfe sauvage des contrées nordiques. Je suis arrivé dans cette ville depuis peu. Mon village se fût attaquer par un clan orc ennemi en mon absence..

Je dévisagea méchamament l'orc assis en face de moi. Sans plus je recommenca mon histoire

Pendant l'invasion plusieurs de mes frères firent massacrer mais quelques un se sauvèrent et je crois que ma fillançé soit une de ceux la. Je partis pour un très long voyage à sa recherche avec mon loup en direction du sud et nous voila ici à Calos. Cet homme m'a proposé de m'aider à retrouver ma bien aimée en échange d'un service. Peut-être qu'un druide ayant étudié du nord au sud ce vaste continent pourrait lui être utile ...

Je m'arrêta puis j'enfila le reste de ma chope d'un trait

Après avoir fait connaissance avec Ezraal et Aldaron, Conrad réalisa qu'il n'étais pas seul à se sentir étranger dans cette nouvelle ville. Tous, à l'exception de l'orc, semblait avoir parcouru des milles afin de se réunir dans ce petit endroit. Étais-ce le destin qui les avait réuni ainsi? Conrad était songeur. D'habitude plutôt bavare, il se mit à réfléchir sur la situation. Bien-sur, Conrad aurait aimé faire fortune à divertir les gens dans les plus grands auberges de Khorvaire, avec peu d'effort. Mais la réalité était tout autre. Ses services n'étaient pas recquis et il fallait survivre dans ce monde difficile. Plusieurs gens rêves d'aventures mais lorsqu'elle vous est proposé, il faut plus que des rêveurs pour l'affronter... il faut du COURAGE.

Après ces quelques instants de réflexions, Conrad pris la parole:
Mes amis, si je peux me permettre de vous appeller ainsi, je suis heureux de constater que nous sommes réunis ici pour entreprendre une nouvelle route. Je ne sais pas où cela nous mènera, mais j'espère en sortir grandit... et plus riches. Je ne suis pas de nature à faire confiance aux premiers étrangers que je rencontre dans une taverne de cette acabie, mais il y a ce petit "je ne sais quoi" cet intangible qui me dit que vous serez d'attaque pour couvrir nos arrières.

Conrad regarda l'orc: Qu'en penses-tu? Est-ce que tu es d'accord pour qu'ils nous accompagne?
Alors si tous le monde est d'accord, je suis d'avis que nous devrions nous assoir a la même table et discuter un peu plus de cette mission. Ou allons nous, avons nous des indices, qui est l'ennemi, les motifs, alouettes...

Hmmm Je doit dire que c'est la premiere fois que je vous vois et vous ne me plaisez pas, Surtout toi l'elfe mais je pense que vous pourriez être un atout pour nous dans notre aventure. Bref je ne suis pas venu ici pour me bagarer. Je suis bien pret a m'accaparer de votre présence mais, si jamais je vous vois comploter vous aurez affaire a moi.

(L'orc n'avait pas l'air très enjouer de voir les 2 autres hommes s'ajouter a son groupe mais il était concient que 4 tete valent mieu que 2.)

En passant le ptit homme a coté de moi arete de parler au moment ou ils dort alors jespere que vous avez les nerf sollide car lui ne va pas ménager vos oreilles.

Votre nouvel employeur vous écoutait discuté, un sourire en coin. Il se doutait que chacune de vos différences allait faire de vous un groupe fort qui ne craint rien. Quand tous eurent accepté la participation de l'autre il reprit la parole.

«À ce que je vois, chacun d'entre vous est prêt à m'aider à retrouver ce grimoire. Par contre, il commence à se faire tard et l'alcool pourait me faire promettre des choses que je ne voudrais pas. Je vous invite donc à venir me rejoindre demain matin à l'aube devant les écuries. À partir de là, nous pourrons discuter de fond en comble de cette mission. Le seul point qu'il ne me dérange pas de mettre au clair immédiatement, est la paie. Deux cents pièces d'or me convienent, mais vous devrez assumé les coût du voyage, chose que j'aurais payer si vous acceptiez les cents pièces. Penser à cela pendant la nuit, nous nous reparleront demain.»

Sur ce, il se leva et prit la direction de ça chambre au deuxième étage. Un simple bonsoir et un signe de tête furent tout ce qu'il vous laissa avant de gagner son lit.

La soirée était bien avancé et plusieurs des clients de la taverne avait quitter l'endroit, il ne restait que vous avec quelques gens qui avait abusé un peu trop des bonnes choses de la vie.

Vous aviez donc rendez-vous le lendemain afin de mettre le tout au clair, seul Egrim n'était pas encore au courant.

-Bon, je crois qu'il est temps d'aller nous reposer.
Est-ce que quelqu'un a un toit a offrir?